Jeux : C’est mon arbre !
10 à 30 joueurs
ce jeu nécessite un terrain boisé. On délimite une base à l’aide de foulards accrochés à des arbres ou des buissons par exemple. Cette limite constitue la ligne de défense.
les joueurs sont répartis en deux camps égaux qui seront alternativement assaillants et défenseurs. Les défenseurs restent dans la base, tandis que les assaillants vont se cacher à l’entour.
Au signal donné par le meneur de jeu, tous les défenseurs quittent la base. Certains partent plus avant pour repérer la position de l’ennemi. Les assaillants eux, tentent de pénétrer dans la base sans se faire toucher par les défenseurs.
Un assaillant ne peut être pris tant qu’il touche un arbre de la main. S’il se trouve menacé par des défenseurs, il leur dit : « C’est mon arbre ! » et ceux-ci doivent se retirer jusqu’à un arbre voisin, mais ils n’ont pas le droit d’y rester uniquement pour en interdire l’accès. Un arbre ne peut protéger qu’un assaillant à la fois.
Lorsqu’un assaillant a pu pénétrer dans la base, il s’y assied bien au milieu pour ne pas gêner l’arrivée de ses coéquipiers et son camp marque un point.
Si.au contraire.il se fait prendre.il se rend dans le camp des prisonniers, situé près de la base, d’où il regardera le jeu sans gêner son déroulement. Une fois le jeu commencé, les défenseurs n’ont plus le droit de pénétrer dans la base sauf lorsque, poursuivant un assaillant, ils y sont entraînés, emportés par leur élan. Dans ce cas, ils en ressortent aussitôt et ne peuvent, dans la foulée, poursuivre un autre assaillant.
La fin de la partie est généralement signifiée par un coup de sifflet du meneur de jeu au bout de dix à vingt minutes. Les rôles, assaillants- défenseurs, sont alors inversés.